Tenir compte de le la localisation
Acheter un bureau, c’est également s’offrir un emplacement qui doit de préférence s’avérer stratégique. La situation géographique de l’immeuble est donc un critère essentiel qui influera grandement sur sa valeur, les prix au m² variant en fonction des secteurs et environnements (professionnels autant que sociologiques). Les vendeurs – entreprises, propriétaires individuels ou institutionnels – doivent commencer par étudier attentivement le quartier au sein duquel les bureaux sont implantés : les quartiers d’affaires et parcs d’activités tertiaires se distinguent ainsi par leur dynamisme et leur attractivité auprès des acquéreurs potentiels. Les professions libérales opteront fréquemment pour un achat de bureaux en centre-ville, l’accessibilité et la visibilité des bureaux conditionnant également leur prix de vente. Le recours à un professionnel de l’immobilier d’entreprise est un atout dans l’estimation et la fixation de du prix de vente des bureaux, permettant aux vendeurs de disposer d’informations pertinentes quant à l’état du marché – valeur des biens de même type situés sur le même territoire et nature des transactions réalisées notamment.
Qualité des prestations et aménagements des locaux
Outre la superficie des espaces de bureaux, la qualité et la valeur de l’immeuble dépendent d’autres facteurs incluant les travaux réalisés, la connectivité et le passage de la fibre optique, la conformité des locaux avec les normes en vigueur ou encore la nature des installations électriques et de ventilation. Compte tenu des évolutions de l’immobilier tertiaire, il est important pour les entreprises utilisatrices de disposer de bureaux adaptables aux nouveaux modes de travail : ainsi les surfaces de bureaux pouvant être configurées selon les exigences du flex office ou smart office seront certainement plus recherchées par les acquéreurs et investisseurs. Les perspectives et aménagements envisageables vont donc également jouer un rôle dans l’estimation des locaux, de même que la présence de certains espaces et équipements pouvant être mis au service de la QVT : salles de détentes, cuisine, ascenseurs, isolation, confort acoustique etc. sont autant d’éléments qui participeront à la fixation du prix de vente.
Le rendement locatif, un critère pour les investisseurs
En raison du besoin croissant de flexibilité qui anime le secteur tertiaire, beaucoup d’entreprises font le choix de louer leurs bureaux : c’est pourquoi il est intéressant d’être propriétaire de bien qui répondent aux critères des investisseurs, à commencer par la rentabilité. Celle-ci dépend principalement des critères précédemment évoqués, notamment du territoire d’implantation, du standing de l’immeuble et de son attractivité en général. Le prix de vente des bureaux doit ici être fixé en fonction du rendement attendu par le ou les investisseurs, la rentabilité brute du bien se calculant en divisant le montant des loyers annuels par le prix d’achat, puis en multipliant le résultat par 100. Ici encore l’expertise d’un professionnel de l’immobilier d’entreprise peut être un atout majeur afin d’aider le vendeur à mieux connaître l’état du marché et les intentions des investisseurs.
